Les réseaux de neurones sont une technologie novatrice qui a le potentiel de transformer à jamais la manière dont nous percevons et interagissons avec le monde. Ces systèmes informatiques mimant le fonctionnement des neurones biologiques peuvent être utilisés pour l'apprentissage automatique, apportant à notre vie quotidienne une myriade d'applications et de possibilités. Dans cet article, nous tenterons d'explorer ce que les réseaux de neurones ont à offrir, en comprenant comment ils fonctionnent, comment les optimiser et en quoi ils peuvent être utiles. C’est parti !
Les réseaux de neurones sont une technologie novatrice qui a le potentiel de transformer à jamais la manière dont nous percevons et interagissons avec le monde. Ces systèmes informatiques mimant le fonctionnement des neurones biologiques peuvent être utilisés pour l'apprentissage automatique, apportant à notre vie quotidienne une myriade d'applications et de possibilités. Dans cet article, nous tenterons d'explorer ce que les réseaux de neurones ont à offrir, en comprenant comment ils fonctionnent, comment les optimiser et en quoi ils peuvent être utiles. C’est parti !
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Leur structure imite la manière dont les neurones biologiques transmettent des signaux.
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Un neurone artificiel est composé d'une entrée (input), d'un ensemble de poids (weights) et d'une fonction d'activation. La fonction d'activation détermine comment le neurone doit traiter l'information reçue par l'entrée.
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Les poids (ou « coefficients ») modifient la force du signal en entrant dans le neurone afin qu'il réagisse correctement à cette information.
Les neurones artificiels peuvent être assemblés en réseaux où chaque nœud se connecte à plusieurs autres nœuds. Ces réseaux comprennent plusieurs couches de nœuds, dont chacune a une tâche spécifique.
Les couches cachées contiennent généralement un certain nombre de noeuds qui servent à traiter l’information fournie par la couche précédente.
Le processus global d’apprentissage consiste à ajuster les poids associés aux différents noeuds afin que les réseaux soient capables de produire des résultats appropriés au regard des données fournies en entrée. Pour ce faire, on utilise l’algorithme de rétropropagation du gradient, qui consiste à effectuer une mise à jour itérative des poids à partir des erreurs observées entre la sortie attendue et la sortie obtenue.
Lorsque les données sont fournies en entrée du réseau, elles sont propagées vers l'avant à travers toutes les couches du réseau. Chaque nœud du réseau combine ses valeurs d’entrée et ses poids, applique une fonction d’activation puis transmet sa sortie vers le nœud suivant.
Lorsque la sortie attendue est atteinte, on calcule alors l'erreur et les poids sont ajustés en conséquence.
Il existe différentes techniques pour optimiser le processus d'apprentissage. Le « taux d'apprentissage » définit la taille des pas de mise à jour effectués sur les poids associés aux nœuds.
Le « moment » est une valeur utilisée pour contrôler la vitesse à laquelle les poids sont mis à jour. La « régularisation » permet de contenir l'impact des nouvelles données sur les résultats du réseau, ce qui peut éviter un apprentissage trop exagéré.
Le nombre de couches cachées et le nombre de nœuds présents dans chaque couche doivent être choisis en fonction de l'application. Plus le problème est complexe, plus grand sera le nombre de couches cachées et le nombre de nœuds par couche.
Une certaine expérimentation est souvent nécessaire pour trouver le bon compromis.
Les CNN sont particulièrement utiles pour analyser des images (vision artificielle). Les données sont envoyées par lots à travers des filtres qui modifient progressivement l'information afin qu'elle puisse être reconnue.
Ce type de réseaux est trèsefficace pour reconnaître les objets à partir d'images.
Les RNN sont spécialement conçues pour traiter du texte ou du discours (linguistique naturelle). Ces réseaux peuvent apprendre à décoder des phrases compliquées, comprendre l'emphase et identifier les relations entre les mots.
On se sert fréquemment du « Perceptron Multicouches » (MLP) pour faire des prédictions basées sur des données historiques et catégoriser une image. Les MLP s'adaptent bien au schéma classique d'apprentissage supervisé où on fournit au réseau un ensemble de données dont la sortie est connue afin qu'il puisse apprendre à prédire correctement cette sortie.